Je n’ai jamais vu champ de roses Qui se fut gardé sans épines Je n’ai jamais vu âme qui ose Qui vive une vie qui la chagrine.
Je n’ai jamais vu homme fort qui Se soit attristé de son sort, et As-tu jamais vu un oiseau, dis Qui s’inquiétât du froid et du chaud ? Mais
J’ai vu tant, tant de pauvres gens aux Visages et aux cœurs inquiétants, car Ils cherchent partout le bonheur où On ne trouve que très grand malheur noir.
Paroles : Florian Lacour Musique : "Como poden" issue des Cantigas de Santa Maria (166), XIIIème siècle